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broyaux

Aarhus - In the mood for art




Et pour un voyage, digne de ceux de Gulliver ou du baron de Münchhausen, de l'enfer au paradis... car c'est sur cette thématique, inspirée de Dante que se décline le musée d'art moderne, ARoS.


L'enfer au sous-sol (niveau 0), avec les ombres les plus sombres. Puis 9 étages d'expositions. Et le paradis au niveau 10, avec son roof top et son sublissime et ultra-photogénique Rainbow Panorama.


Au passage, remarquez : quoi de plus simple et de plus fonctionnel, pour donner aux visiteurs le programme des expositions pour les 11 étages. Universel, pas besoin de traduction, illustré. Quel génie dans la simplicité (du design à l'état brut).










Parmi les expositions, lors de notre visite, une splendide exposition sur l'Afrique, pour oublier tout ce qu'on croit savoir sur ce continent (c'est le pitch de l'expo, pas le mien :)).. Magnifique ! Avec une scénographie inventive et esthétique.




















L'architecture du musée réserve aussi de belles ambiance minimalistes et graphiques, avec des spirales fortement inspirées du Guggenheim.


L'intrusion d'un lampion géant, même pas dragon, multicolore... gâchant un peu l'expérience. Mais bon des goûts et des couleurs, y compris du mauvais goût... on ne discute pas... et de certains artistes, bien introduits dans des institutions culturelles... encore moins :).


De la contrainte naissant la créativité, on trouve des angles épargnés.

Pas facile car cette créature plus que contestable étend ses tentacules partout.

En l'écrivant, je me demande si ce ne serait pas son but, d'ailleurs... la victoire de la criardise et du cheap sur une esthétique minimaliste :).



















Autres expositions : le projet d'architecture du musée. Un avant goût du Rainbow Panorama.



Et quelques salles consacrées à James Turrell, artiste jouant avec la lumière comme matière première.





Il faut parfois composer avec "le monstre" pour mieux le dompter :).

Et cela me permettra de convaincre les sceptiques.












L'air de rien, nous en sommes au niveau 5, le 7 n'existe pas (administration du musée ou tabou de la culture danoise, je ne sais). Un étage était consacré à une rétrospective d'une peintre d' "à l'époque" (expression consacrée - ou plutôt familiale - pour dire en costume un peu ch...) qui n'allait pas trop avec l'ambiance générale du musée.


Il ne nous reste qu'un étage, avant le restaurant (cher ! nous lui avons préféré la cafet, cf. ci-dessous) et... le double étage nirvanesque :).


Au programme du 6ème étage, du moderne avec de très belles découvertes, comme cet arbre fait de panneau de verre. Et la référence du musée : un jeune garçon angoissé de 4 mètres de haut (joli travail quand à l'expression)... quant à moi, j'ai beaucoup aimé l'arbre et l'herbier :).





Nous voilà au climax. Difficile choix pour les photos, tellement c'est dingue et photogénique. Les plus pressés passeront rapidement et/ou noteront de vivre leur propre expérience ; les autres peuvent s'immerger dans le rainbow. C'est juste dingue et une super idée !!! Waouh !!!!



Pour une pause gourmande, mais salée (pas l'addition, l'assiette des spécialités - la saumure a du se transmettre de génération en génération, et le goût du sel avec, mais nos papilles sont surprises, et ce n'est que le début, sur la teneur en sel des plats ; et pourtant cela ne me fait, dans l'absolu, pas trop peur :)).


BETTY F.










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